Dans le cadre de
Feeërieën 2022
Un témoignage émouvant à Daniel Johnston et « quand le classique rencontre l’électronique »
Du 22 au 26 août, les Feeërieën, le festival gratuit de l’AB vous propose à nouveau une dégustation musicale cosmopolite. En 2022, nous investissons à nouveau la superbe Gare Maritime sur le site de Tour & Taxis (Rue Picard 7, 1000 Bruxelles). Découvrez ici comment accéder au site de la Gare Maritime.
Cette année, une nouveauté viendra embellir les Feeërieën : la terrasse d’été de l’AB avec au programme, une foule d’animations sympas et de chouettes ateliers.
NAIMA JORIS plays DANIEL JOHNSTON
+JFDR x KIERAN BRUNT x BENJAMIN GLORIEUX presents ‘The End Of Infinity’
19u00: SOUNDTRACK BY: DJ STONEWOOD
20h00: JFDR x KIERAN BRUNT x BENJAMIN GLORIEUX présentent « The End of Infinity »
« The End of Infinity » est un projet collaboratif unique entre le singer-songwriter/producer islandais Jófríður Ákadóttir (JFDR), l’interprète/compositeur britannique Kieran Brunt et le violoncelliste/compositeur belge Benjamin Glorieux. Ce triumvirat international se lance dans une aventure conjointe, en explorant les connexions entre la musique classique et électronique.
Il n’y a finalement rien d’étonnant à cette quête commune de la symbiose musicale ultime : JFDR a déjà travaillé dans le passé avec Ólafur Arnalds, Benjamin Glorieux a injecté une dose d’électronique dans les célèbres suites pour violoncelle de Bach et Kieran Brunt a multiplié les collaborations, entre autres avec Nils Frahm, Jónsi et Anna von Hausswolff. Avec « The End of Infinity », le trio explore des thèmes tels que l’infini, l’incertitude, la vie et la mort à travers un cycle de chansons.
Cette production a été créée à Londres, au prestigieux South Bank Centre, grâce au soutien du B-Classic Festival Van Vlaanderen et de Liveurope.
Photo: Annika Wallis
21h30: NAIMA JORIS PLAYS DANIEL JOHNSTON
Le magazine musical Oor en brosse un portrait très pertinent : « Il y a de ces voix qui arrêtent un moment le temps et qui vous émeuvent jusqu’aux tréfonds de votre âme. Celle de Mimi Parker (Low), de Mélanie De Biasio, mais aussi de Naima Joris sont de celles-là. ». Rien que cela ! Il manque juste à nos yeux Daniel Johnston, musicien atypique. Naima Joris est devenue fan après avoir vu « The Devil And Daniel Johnston », un documentaire poignant. « J’ai été séduite par sa sensibilité extrême. C’est lui qui m’a finalement appris à composer avec sincérité », explique-t-elle.
Cette admiration a débouché sur un album incroyablement émouvant en hommage à Daniel Johnston. Un album de reprises, avec des morceaux qui l’ont touchée personnellement. Et qui nous touchent aussi. Au point d’en avoir le souffle coupé à l’écoute des versions épurées/apaisées de « Story Of An Artist », « Poor You » ou « Cold Hard World » entre autres. La voix ensorcelante de Naima vous transperce jusqu’à la moelle et ses reprises n’ont rien à envier aux meilleures interprétations de Johnston lui-même. Sur scène, elle surclasse même le Californien – et nous pesons nos mots. Amen !
Photo: Lien Peters
Un concert de Liveurope :
La première initiative pan-européenne pour soutenir les salles de concerts en matière de promotion d’artistes émergents.