Le magazine musical Oor en brosse un portrait très pertinent : « Il y a de ces voix qui arrêtent un moment le temps et qui vous émeuvent jusqu’aux tréfonds de votre âme. Celle de Mimi Parker (Low), de Mélanie De Biasio, mais aussi de Naima Joris sont de celles-là. ».
Rien que cela ! Il manque juste à nos yeux Daniel Johnston, musicien atypique. Naima Joris est devenue fan après avoir vu « The Devil And Daniel Johnston », un documentaire poignant. « J’ai été séduite par sa sensibilité extrême. C’est lui qui m’a finalement appris à composer avec sincérité », explique-t-elle.
Cette admiration a débouché sur un album incroyablement émouvant en hommage à Daniel Johnston. Un album de reprises, avec des morceaux qui l’ont touchée personnellement. Et qui nous touchent aussi. Au point d’en avoir le souffle coupé à l’écoute des versions épurées/apaisées de « Story Of An Artist », « Poor You » ou « Cold Hard World » entre autres. La voix ensorcelante de Naima vous transperce jusqu’à la moelle et ses reprises n’ont rien à envier aux meilleures interprétations de Johnston lui-même. Sur scène, elle surclasse même le Californien – et nous pesons nos mots. Amen !
Vous pouvez voir Naima Joris le lundi 22.08 à la Feeërieën : Festival d'été gratuit de l'AB à la Gare Maritime.
La presse sur 'A tribute to Daniel Johnston' :
- ‘Tribute to Daniel Johnston’: wie zegt dat je niet kunt dansen op de gruzelementen van een gebroken hart? ★★★★☆ (De Morgen)
- “Avec beaucoup de finesse et de sobriété.” ★★★★☆ (Le Soir)
- “Wie dacht dat Despair Came Knocking van Daniel Johnston al intens klonk, zal bij de versie van Naima volledig weggeblazen worden.” (Luminous Dash)
- “Het is inderdaad een koude harde wereld, maar met mensen zoals Naima Joris zal de ware liefde je uiteindelijk toch omarmen.” (OOR)