L'Artist In Residence de l'AB présente son nouvel album
« Le résultat est d'une beauté pour laquelle les mots nous manquent. »
(De Morgen à propos de ‘Weg’)
« Cela faisait longtemps que nous n'avions pas été autant absorbé par la première écoute d'un CD, et après de nombreuses écoutes le disque nous réchauffe toujours autant le cœur et le corps. »
(Humo à propos de ‘Weg’)
Jan Swerts : difficile de faire nom plus flamand. Ce pianiste minimaliste limbourgeois révère autant Wim Mertens et Joni Mitchell que toute la nouvelle vague de compositeurs classiques indie contemporains dont font partie Jóhann Jóhannson, Max Richter et Hauschka. Sorti en autoproduction en 2010, son premier opus ‘Weg’ avait été largement salué par la critique.
Son deuxième effort, ‘De Anatomie Van De Melancholie’, paraîtra en début d'année chez une major, ce qui ne fait que confirmer tout l'espoir placé en lui. L’album – qui bénéficie une nouvelle fois d'un très bel artwork – fait dans la beauté tranquille.
Depuis plus d’un an, nous travaillons dans l'ombre pour aider Jan Swerts à passer du stade de musicien de studio à celui d'artiste de scène. Si Swerts considère encore le live comme un mal nécessaire, il fait volontiers une exception pour l'AB.
Nous terminerons par la plus belle citation parue sur son compte à ce jour : « Le Limbourgeois signe une musique où la nostalgie de pianistes comme Keith Jarrett, Wim Mertens et Philip Glass se fond avec le son austère de singer-songwriters de la trempe de Mark Hollis et Nick Drake. » (De Morgen)