Depuis quatre décennies, Ibrahim ag Alhabib et son groupe Tinariwen nous font voyager sur les mélopées envoûtantes de l’assouf saharien. Après plus de six ans, les pionniers du blues touareg sont enfin de retour à l’AB. Ils viendront présenter Amatssou, un nouvel opus qui frappe très fort, signé chez Wedge.
La collaboration avec Daniel Lanois fait ressortir les affinités musicales entre le blues sub-saharien de Tinariwen et l’authentique roots music américaine.
La presse sur Amatssou:
- ‘Woestijnblues in americana-sfeer. Tinariwen blijft een formidabele woestijnbluesband.’ – De Standaard ★★★★
- ‘Le blues du désert s’entremêle à la country américaine. Les riffs hypnotiques et fougueux des guitars électriques côtoient lap-steel et banjo. Poignant et exaltant.’ – La Libre
- ‘Si le groupe s’est frotté à la country, les genres ne se sont pas pour autant aseptisés l’un dans l’autre. Ni abâtardis, d’ailleurs : les Touaregs restent maîtres du jeu. Un jeu pimenté de quelques touches subtiles : banjo et tempo caractéristiques sur « Anemouhagh », ou « Kek alghalm » en ouverture, écho de pedal steel sur « Ezlan » ou « Jayche atarak », voyage tranquille à dos de monture dans un vaste paysage.’ – Le Soir
- ‘The desert rockers, whose big-name fans include Jack White, are still militant but more approachable on their latest album. There’s also a female presence on the wonderful final track “Tinde”, where melismatic female voices float over a thunderous waltzing rhythm played on hand drums. It suggests that Tinariwen’s all-boys club is opening up, and all the better for it.’ – Uncut Magazine