‘The new sound of Istanbul.’ ★★★★ (The Guardian)
Un concert de Liveurope:
La première initiative pan-européenne pour soutenir les salles de concerts en matière de promotion d’artistes émergents.
Le psychédélisme turc ? Du Pink Floyd au saz !
C’est la dernière friandise en date de la scène indie : le psychédélisme turc. Des labels comme Finders Keepers et Pharaway Sounds ressuscitent le patrimoine turc par un flux ininterrompu de rééditions, l’héroïne populaire Selda Bağcan est redécouverte à grande échelle et des formations et artistes contemporains comme Gaye Su Akyol, Derya Yildirim, BaBa ZuLa et Altin Gün embrassent le style avec passion. Tous font référence aux jours glorieux du psychédélisme turc, les années 60-70, période de fusion entre le rock/folk anatolien et le rock’n’roll occidental. Des artistes comme Erkin Koray, Bariș Manço, Selda et Cem Karaca étaient les héros de l’époque, casquette qu’ils combinaient souvent avec celle d’activiste politique.
Sa musique est influencée tant par ses racines turques – Gaye est grande fan de Selda – que par Joy Division, Nick Cave et la musique surf. Le groupe – sauf Gaye, tous les autres musiciens portent des masques – propose des concerts entraînants et envoûtants. Leur dernier album « İstikrarlı Hayal Hakikattir » (sorti via le superbe label Glitterbeat), « Consistent Fantasy Is Reality » en anglais, a été couvert de louanges par Pitchfork et plusieurs blogs spécialisés dans les global sounds.
Côté presse
Mojo : « Her voice is a gloriously expressive instrument full of mystery. »The Guardian : « A compelling and distinctive young Turkish singer. She deserves international success. »
Louder Than War : « A bit of Patrick Watson if he were on a trip to Turkey intentionally writing Eastern infused tunes. ... Wonderful stuff. »