L'élégance d'un rock à guitares post-indie aventureux !
SĂ»r qu'avec un tel nom, la place de ces Britanniques de Brighton est Ă l'AB. The Maccabees y sont d'autant plus Ă leur place avec la sortie, cette annĂ©e, de 'Given To The Wild' . Ce troisiĂšme opus leur a une nouvelle fois valu d'ĂȘtre encensĂ©s par la presse.
De Standaard titrait : « Avec 'Given to the wild', The Maccabees démontrent que le terme pop n'est plus une insulte dans les milieux indie. Chaque album est un pas en avant. »
De Morgen écrivait, quant à lui : « The Maccabees sont, pour ainsi dire, le groupe à guitares le plus en vue du moment... ils ont sorti un album remarquable qui leur a donné accÚs, en peu de temps, à un plus large public... le groupe ne jure que par une pop à guitares aux atmosphÚres travaillées qui se déploie avec grùce et qui est un poil plus arrangée que ce à quoi les groupes de rock nous ont généralement habitués. On y entend un soupçon de Pink Floyd et un zeste de Stone Roses. Ils citent, pour leur part, Bowie et Kate Bush comme principales influences. Pas mal. »
De Morgen disait encore de leur passage au Bota au printemps : « Le set Ă©tait relativement cohĂ©rent et le groupe s'est rĂ©vĂ©lĂ© plus pĂȘchu en live. Ils m'ont mĂȘme fait penser Ă l'intense post-punk de The Sound, groupe oubliĂ© des eighties, mais lorsque le guitariste Felix White sortit de ses cordes un motif plus exotique et quasi africain, c'est Talking Heads qui s'est rappelĂ© Ă notre bon souvenir ».
« Le groupe boucla le set, aprÚs 50 grosses minutes, par le single 'Pelican' mais ce n'était qu'une simple respiration avant un rappel incendiaire. Dans ce genre de moments, The Maccabees réussissent, avec une incroyable aisance, à répondre à toutes les attentes : un son grisant, d'excellents titres et la volonté d'aller totalement de l'avant ».
Allez-y !