Du singer-songwriting classieux et épuré made in Belgium
« The Bony King of Nowhere nous bouleverse. » ****
(De Morgen à propos de TBKON & friends)
« Ceux qui se sont déjà laissés transporter par la superbe prestation du bonhomme en août au Pukkelpop n'ont pas de soucis à se faire. »
(Humo à propos de son dernier album en date)
Pour ceux qui ne l'auraient pas encore compris, Bram Vanparys fait partie des tout grands musiciens de ce pays, comme en témoigne encore ‘The Bony King Of Nowhere’, son dernier et troisième album éponyme qui a fait mouche une fois de plus. Le disque est d'une élégance épurée du plus haut niveau. La voix incomparable de Bram Vanparys est toujours aussi habitée et se révèle d'autant plus poignante dans cette formule (son dernier opus est au fond un album solo).
En soi, les chansons de The Bony King sont d'une grande simplicité mais l'effet est maximal. Déchirant, a-t-on même pu lire quelque part. Ou encore dans le Humo : « En fermant les yeux, on entend poindre la voix de Jeff Buckley à travers le ressac. » Et la citation la plus enthousiaste que nous ayons pu lire récemment à son sujet : « La place Sint-Pieters [de Gand] lui fait de l’œil … ». En attendant, nous vous proposons un concert dans notre humble mais toujours agréable AB.
Nous entamerons la soirée en beauté avec Douglas Firs. Derrière ce pseudonyme, on retrouve Gertjan Van Hellemont qui accompagne régulièrement The Bony King of Nowhere à la guitare. Le jeune homme navigue dans les eaux de Neil Young, James Taylor et Bob Dylan. Son premier album ‘Shimmer & Glow’ a reçu le soutien de membres et d'ex-membres d'Admiral Freebee et de Balthazar.
Voici que la presse belge en dit :
« Il figure, selon nous, dans le top de la musique indie belge. » (Radio 1)
« Un premier effort magnifique qui ne laissera personne indifférent. » (Cobra.be)
« Douglas Firs est le Ryan Adams belge. » (RifRaf)