“*****” … “The first great album of 2013.” (The Guardian)
“9/10” … ‘This soulful debut is a stunning introduction.” (Uncut)
“****” … « Un disque bourré d’aspérités qui vous gagne au fil des écoutes. » (De Standaard)

Un homme barbu, chevelu et lunetté, vêtu d'un costume blanc. Voilà une apparition qu'on n'oublie pas de si tôt. Bienvenue dans le monde merveilleux de Matthew E. White ! Le grand oublié de tous les pronostics annonçant le son de 2013. Bienvenue également dans le monde de Spacebomb, le label qu'il a fondé dans l'esprit de Stax, avec un véritable orchestre à demeure comme l’était The Bar-Keys pour le légendaire label soul.

Son premier album, ‘Big Inner’, transpire la soul, la country et le gospel. Pensez à Lambchop du temps de ‘Nixon’, mais aussi à Randy Newman, Shuggie Otis ou The Band. Ce fils de missionnaire est fait pour s'inscrire dans la durée. Son label dispose déjà d’une foule de sorties en préparation avec des artistes liés à des groupes / collectifs comme Megafaun ou Gayngs.

Son premier album ne compte que sept titres mais comme The Guardian le prédisait : “White and his musicians achieve the kinds of loveliness that Spiritualized, Lambchop, Cat Power and the Beta Band have tilted at and quite often missed.”

Manquer ce premier passage de Matthew E. White en Belgique serait votre premier faux-pas de l’année. Vous pouvez nous croire.

Night Beds

Les Américains de Night Beds, se situent quelque part entre Gram Parsons, Mark Kozelek (Sun Kil Moon/Red House Painters) et My Morning Jacket. Winston Yellen, le leader originaire de Nashville, est l’atout majeur du groupe.

Écoutez le titre « Ramona » et vous comprendrez tout de suite pourquoi l’AB et Matthew E. White sont tombés sous le charme.