L'icĂŽne du rock choc est de retour avec un 9e opus satanique !
Maximum 4 tickets par personne!
Depuis â89, Brian Hugh Warner terrorise et offusque les moralisateurs de tous poils avec son alter ego Marilyn Manson. Au fil de ses neuf albums (le dernier « The Pale Emperor » date de janvier â15), il nâaura cessĂ© de fouler aux pieds les rĂšgles de la biensĂ©ance avec ses bottes de cuir et un mĂ©lange de rock alternatif, de mĂ©tal industriel, d'influences gothiques et de rĂ©fĂ©rences sataniques. On notera aussi qu'il a sorti sur le marchĂ© sa propre version de l'absinthe, le Mansinthe, dont le taux d'alcool chiffre Ă 66,6% et qu'il a une carte de membre de la Church of Satan ! Mais on passera ici sous silence les prestations scĂ©niques grotesques et souvent choquantes que le Lucifer du rock choc a l'habitude de livrer.Â
Dans les annĂ©es â90, le statut rock de Manson a pris des proportions iconiques grĂące Ă des albums comme « Smells Like Children » mais surtout « Antichrist Superstar » (produit par son bon ami Trent Reznor de Nine Inch Nails) et « Mechanical Animals ». Les hymnes rock « Sweet Dreams », âThe Beautiful People », « The Dope Show » et « I Donât Like Drugs (But The Drugs Like Me) »  ont, pour leur part, depuis longtemps intĂ©grĂ© le patrimoine rock influencĂ© par le mĂ©tal.Â
AprÚs quelques digressions comme acteur pour des séries télé (« Sons Of Anarchy ») ou en tant que peintre (son exposition d'aquarelles, « Masquerade », a été montrée en 2014 en marge du festival Eurosonic de Groningue), le Mephistopheles of Los Angeles (c'est aussi le titre de son nouveau single) revient pour de bon nous plonger dans la noirceur de l'enfer sur terre !