Difficile de coller une étiquette à la musique de cette jeune hipster canadienne et c'est certainement son but. Elle passe, sans sourciller, de beats rythmés à la MIA ou à la Santigold à une chanson déchirante, simplement accompagnée par un piano électrique et quelques chœurs (cf. ‘The Birds’ sur son EP ‘If You Can, Solve This Jumble’ paru l'an dernier).
Si elle avait déjà éveillé l'attention par le passé avec le collectif Apparatjik, c'est désormais sous le nom de Lowell qu'elle a choisi d'évoluer.
Sur sa page Facebook, elle se décrit en ces mots :
‘I don't wanna go out until the sun is out. I just want to be cold, on the horizon. It’s just me and my pillow, although we're dead sick of the cold. I don't want to tell you my stories, I don't want to talk about dreams, I just want to fold my eyes, into my sleepy seeds. You know, we'll never be friends, but that's the thing about us; we find love in chaos.’
Parmi ses principales influences, elle cite les Beatles, Simon and Garfunkel, Feist, Tegan and Sara, Regina Spektor, Florence and the Machine, Sinead O'Connor, Kid Cudi, Chad VanGaalen, Devendra Banhart, Sufjan Stevens, Arcade Fire et Braids.