Le nouveau Lady Linn en primeur !
Le troisième et nouvel album de Lady Linn s'intitule 'High'. Lady Linn est le nom de scène adopté par la chanteuse gantoise Lien Degreef. Une voix passionnée qui ne manque pas de faire des étincelles.
Accompagnée de ses Magnificent Seven, on lui doit divers projets plus « dansants » sortis en 2009 dont on retiendra le mégatube 'I Don't Wanna Dance.'
Les attentes vis-à-vis de l’album sont cette fois aussi hautes que le laisse présager son titre car, sur cette nouvelle plaque, son très apprécié mélange de pop, de jazz et de soul semble avoir été épicé d'un soupçon d'électronica.
Les chansons ont été tout d'abord imaginées à la guitare puis au piano. Les paroles se font plus directes et on retrouve le guitariste Bruno De Groote (cf. Raymond V, Axelle R ...) et le fidèle producteur Renaud Letang (cf. Des pointures comme Jane Birkin, Feist ...) à la conception.
Les mots clés pour qualifier Lady Linn sont aujourd'hui « électro, disco, dance & synth pop », en plus de « ballades mélancoliques, électro minimaliste ... ».
Et le mot de la fin : « La liberté musicale adoptée par le nouvel album de Lady Linn ne perd jamais de vue l'essentiel : viser la meilleure chanson possible ».
C’est du solide !
Lady Linn viendra accompagnée en première partie de Black Flower, un quintette emmené par le saxophoniste et compositeur Nathan Daems, apparemment très influencé par Mulatu Astatke ou Fela Kuti et qui mélange de manière explosive « ethiopique, jazz, afro, oriental and blues. Soulful music with an eccentric and psychedelic identity. »
Le CD « Abyssinia Afterlife » est sorti chez Zephyrus : « un voyage lucide à travers les jardins de l'au-delà abyssinien. »
Avec Nathan Daems (saxophone et flûte traversière, cf. Antwerp Gipsy Ska Orchestra), Jon Birdsong (cornet, cf. Beck, Calexico, dEUS...), Simon Segers (batterie, cf. De Beren Gieren...), Filip Vandebril (basse, cf. The Valerie Solanas, Kocani Orkestar...), et Wouter Haest (claviers, cf.Los Callejeros...).