Un chanteur punk au cœur et aux chansons tendres !
“An intensely personal record, intimate, as reading pages ripped straight from Frank's diary.” (NME)
“Crafted with his usual love and care, and delivered with fire and conviction.” (The Guardian)
« Des histoires originales, à l’humour rafraîchissant, racontées d'un point de vue très personnel et d'une telle manière qu'on ne met jamais en doute son authenticité. Un disque qui vous accompagne sans problème tout au long de l'été. Son œuvre la plus marquante à ce jour. » (De Morgen)
À l'instar de Biffy Clyro (à l'AB le 16 décembre), le chanteur punk Frank Turner remplit des salles de plus de 20.000 personnes de l'autre côté de la Manche et apparaît régulièrement sur la main stage des plus grands festivals comme Reading et Leeds alors qu'il peine à se faire connaître chez nous. Son dernier album en date, ‘Tape Deck Heart’, regorge de folk rock aux accents punk. Ses textes sont pleins d'humour, d'autodérision et de regrets (sans que cela ne devienne pesant !). « Sans langue de bois et le cœur à l’envers » pouvait-on lire dans la chronique 4 étoiles de Bart Steenhaut (De Morgen) à propos du cinquième opus de Turner que l’on situera entre The Gaslight Anthem, Bruce Springsteen et Billy Bragg.
Remarqué lors de la cérémonie d'ouverture des derniers Jeux Olympiques, Frank Turner est venu affûter, cette année, sa déjà solide réputation live sur la scène principale du Groezrock 13. Des problèmes de dos l’ont, par contre, empêché d’assurer son set au Pukkelpop. Le désir de revanche de ce barde tatoué au coeur tendre promet d'être exacerbé en mars !
Les Andrew Jackson Jihad dont les textes hilarants abordent des thèmes aussi difficiles que la pauvreté, la religion ou la politique animeront la scène de leur punk folk passablement dérangé à l'invitation de Frank Turner. Tout comme Ducking Punches qui entamera la soirée, armé d'une guitare et de ses propres opinions.