Présentation du 3e opus d'un groupe belge résolument à part
« Pour les amateurs de beauté effrayante. »(Cobra.be)
« Un diamant en puissance par un musicien hors pair. » (Oor à propos de l'album ‘Twist’)
En octobre paraîtra ‘City Same City’, le troisième opus de ce groupe belge hors du commun qu'est Flying Horseman. À lire les musiciens, l'album puise sa source dans le désert. L'influence africaine – la musique juju nigériane et le desert blues malien – est indéniable. Mais on y décèle aussi la singularité de grands faiseurs comme Fleetwood Mac à ses débuts, Talk Talk vers la fin de sa carrière, Brian Eno, Talking Heads ou Joy Division.
À la production, on retrouve Koen Giesen (An Pierlé, The Bony King Of Nowhere, ...) qui se profile lentement mais sûrement comme l'un des meilleurs producteurs de Belgique.
Le leader de Flying Horseman, Bert Dockx, a de toute évidence le vent en poupe. À peine un an après la sortie de ‘Twist’ et quelques mois après ‘I/II’ de Dans Dans, son autre formation saluée par la critique, il revient avec un nouvelle pièce maîtresse.