Pour les fans de Klaxons, Friendly Fires et Yeasayer.
L'histoire de Delphic a dĂ©butĂ© Ă Gand, auprĂšs de R&S Records (Aphex Twin, Ken Ishii, James Blake). Le lĂ©gendaire label a sorti leur premier single âCounterpartsâ en 2009 mais aprĂšs un jeu de chaises musicales entre labels, le quatuor a finalement trouvĂ© refuge chez le renommĂ© Polydor (White Lies, Crystal Castles, Ellie Goulding) qui a, pour sa part, signĂ© âAcolyteâ, leur passionnant premier album teintĂ© d'Ă©lectro rock. ArrivĂ©s troisiĂšme dans l'influente liste Sound Of 2010 de la BBC (derriĂšre Ellie Goulding et Marina and the Diamonds), ces Mancuniens rĂ©pondent entiĂšrement aux espoirs placĂ©s en eux et font un malheur sur scĂšne. Il en va de mĂȘme chez nous. « La fĂȘte Ă©tait Ă l'euphorie avec Delphic. Un groupe qui a de l'avenir. » Ă©crivait Enola aprĂšs leur passage Ă la Rotonde du Botanique. En 2010, Ă Rock Werchter, leur cocktail dansant mĂȘlant indie rock et Ă©lectro avait autant convaincu le chroniqueur du Humo (« Delphic a ouvert ce matin le Marquee de façon grandiose avec une Ă©lectro rock particuliĂšrement avenante. ») que celui du Morgen (« Delphic a subjuguĂ© le public et a fait l'effet d'une bombe »).
L'an dernier nous avait dĂ©jĂ offert un avant-goĂ»t de la nouvelle tournure prise par le groupe avec âGood Lifeâ, l'hymne qu'ils avaient Ă©crit Ă la gloire des Jeux Olympiques de Londres. âBaiyaâ, le premier single extrait du nouvel opus âCollectionsâ, confirme ce lĂ©ger revirement de style. Moins indie rock, plus Ă©lectro pop et agrĂ©mentĂ© de synthĂ©s et de beats typĂ©s annĂ©es 80, il a bĂ©nĂ©ficiĂ© d'une production un poil plus thĂ©Ăątrale, aux mains du duo de producteurs Tim Goldsworthy (U.N.K.L.E., The Rapture, LCD Soundsystem) et Ben Allen (Animal Collective, Bombay Bicycle Club).
Le deuxiĂšme LP de Delphic est annoncĂ© dans les bacs pour le 28 janvier. Achetez-vous donc une nouvelle paire de pompes en prĂ©vision. Ăa va danser Ă l'AB !