“One of the undisputed masterpieces of British pop in 2012”. (The Sunday Times à propos de leur premier album)
“Un set brillant qui vous désarçonne complètement.” (De Morgen à propos de leur concert à l'Eurosonic)
“We’d sign them if we had a label.” (The Guardian)

Avec le soutien de

Les journalistes n'hésitent pas à recourir au bluff. On avait ainsi pu lire dans De Morgen en début d'année : « On a rarement été aussi convaincu qu'un disque finirait dans notre top de fin d'année avant même de l'avoir écouté. Le premier album de Clock Opera est l'un de ceux qu'on attendra avec impatience. » Quelques mois plus tard, le coup de bluff s'est, semble-t-il, transformé en vérité. The Sunday Times a qualifié leur premier opus de chef-d’œuvre et on se passe en boucle notre exemplaire importé.

Le quatuor anglais Clock Opera est à l'origine de l'indie pop la plus palpitante du moment. Ces Londoniens appellent cela de la « chop pop ». Affûté, novateur et passionné, Clock Opera mêle mélodies pop, électronica et flambées new wave, le tout attisé par le feu sacré qui brûle encore dans le circuit indie. L'autre atout du groupe réside dans son chanteur Guy Connelly qui ne manquera pas d'être très bientôt adulé par les foules.
D'autres références ? Bloc Party et Yeasayer – que Connelly a d'ailleurs remixés par le passé – et des influences (in)directes comme Roxy Music, Autechre, Peter Gabriel et Hot Chip.

Pour clore en apothéose, l'excellent blog belge Disco Naïveté ne cache pas sa passion pour le groupe et écrivait : “simply amazing from start to finish.”