L'AB a, depuis un bout temps, jeté son dévolu sur le Théâtre américain. Le pavillon américain, érigé lors de l'expo 58, se trouve toujours à l'ombre de l'emblématique Atomium. Ce lieu ancré dans l'histoire a été dessiné par l'architecte américain Edward Durell Stone qui a entre autres réalisé le Radio City Music Hall et le Museum of Modern Art (MoMA) à New York.

Adresse Théâtre américain : Avenue du Gros Tilleul 2 / 1020 Laeken Bruxelles

L' âme de l'AB viendra hanter les murs du Théâtre américain le temps d'un week-end grâce à une programmation ambitieuse qui ne manquera d'éveiller vos sens. L'AB renoue ainsi avec la destination d'origine de cette salle : l'organisation de concerts. Et ils ne furent pas des moindres en 58. Des sommités comme Benny Goodman, Count Basie, Duke Ellington et Sarah Vaughan furent quelques-unes des étoiles qui y brillèrent.

22.00

BRNS

Ce quatuor bruxellois en aura séduit plus d'un au cours des derniers mois. La musique de BRNS (à prononcer Brains) est diablement indie et s'est déjà imposée en première partie de Suuns, Django Django et Cloud Nothings. Leur recette ? Une section rythmique tout en puissance, des lignes de basse qui pulsent et des entrelacs d'orgues et de guitares liés par des chœurs complètement givrés. Ce sera très probablement l'un de leurs tout derniers concerts en 2013, avant qu'ils ne ne se rendent en studio pour l'enregistrement de leur premier opus.

21.00

MEAN

Mean est le nouveau groupe de Younes Faltakh (The Hickey Underworld) et Niels Borrey (cf. Max Rouen). Une sorte de version grungy de Ween à laquelle on aurait mêlé le rock détonant de The Hickey Underworld. Leur premier EP est paru chez Skeleton Ears, le label du désormais célèbre cameraman Nikolas Karakatsanis qui s'est illustré sur le film 'Tête de bœuf'. Leurs chansons portent de drôles titres comme ‘Ode to the One Euro Lasagna’ et ‘A Night to Dismember’. Sur scène, il leur arrive aussi de se produire en bure de moine.

20.00

LE COLISEE

Le Colisée est le projet solo du jeune Bruxellois David Nzeyimana. Sa musique est faite de copier-coller où voix, électronica, guitare et loops forment un tout fragile. L'occasion de découvrir un talent en devenir.