“A surprisingly authentic biopic of a former Velvet Underground star” - Variety
Tickets via ce lien.
BRDCST & (CINÉMA) PALACE unissent leurs forces
De 1913 à 1974, l’AB faisait face au 'plus grand cinéma de la ville' : le Pathé Palace, nommé d’après le pionnier français de la distribution cinématographique Charles Pathé. Alors que le petit chien Nipper devenait l’emblème de His Masters Voice, Pathé jeta son dévolu sur un coq qui, aujourd’hui encore, orne la façade du bâtiment. Le Palace a récemment rouvert ses portes en tant que complexe de divertissement et de cinéma, renouant ainsi avec sa vocation initiale.
Cette année, pour la toute première fois, BRDCST et Le Palace unissent leurs forces au carrefour de la musique et de l’image. Nous vous présenterons, dans les meilleures conditions, l’avant-première de 'Nico, 1988'.
NICO, 1988 – AVANT-PREMIÈRE
"Nous sommes aujourd’hui en présence de la femme fatale de Lou Reed !", s’exclame un animateur radio - un peu trop enthousiaste - au début du film Nico, 1988 de Susanna Nicchiarelli. "Ne m’appelez pas comme ça, je n’aime pas ça", répond la chanteuse, donnant ainsi d’emblée le ton du film. Pour beaucoup, Nico (ou Christa, comme elle préfère, campée par la Danoise Trine Dyrholm) est avant tout la chanteuse emblématique du groupe The Velvet Underground et la muse d’Andy Warhol. Mais pas pour Nicchiarelli : pour paraphraser le titre d’une récente autobiographie de Kim Gordon (Sonic Youth), ceci n’est pas l’histoire d’une fille qui faisait partie d’un groupe, mais celle d’une fille après qu’elle eut quitté ce groupe. Nico, 1988 est un road movie musical sur la renaissance d’une artiste courageuse et singulière, sur la femme et la mère derrière l’icône.
INTRODUCTION
Par Kurt Overbergh, directeur artistique de l’AB et grand fan du Velvet Underground.
THE VELVET UNDERGROUND: A CELEBRATION OF THE 50TH ANNIVERSARY OF “WHITE LIGHT/WHITE HEAT” w/ BARST PLAYS “SISTER RAY”
Au terme de cette projection, vous aurez rendez-vous à l’AB Club pour un hommage unique au Velvet Underground à la faveur d’un véritable concert de minuit (!), proposé par l’orchestre de transcendental atmospheric black shoegaze math noise drone Barst. Barst transformera le grand classique 'Sister Ray' en une version live des plus explosives de près de 40 (!) minutes.