Jazz éthiopien mêlé d’afrobeat, de dub et de sonorités orientales...
Black Flower est le remarquable projet aux consonances internationales de Nathan Daems, figure de proue du groupe et saxophoniste/compositeur/multi-instrumentiste. Ses plus grandes sources d’inspiration sont incontestablement le jazz éthiopien de Mulatu Astatke et l’afrobeat du Nigérian, Fela Kuti. On perçoit aussi l’écho de Masada (cf. John Zorn), ainsi que des touches de dub et des influences (plus que jamais) orientales.
Vous comprenez aisément pourquoi, il y a deux ans, nous avons catapulté leur premier opus « Abysinnia Afterlife » parmi les « Meilleurs albums belges de 2014 ». Pour le successeur « Artifacts », qui verra le jour cet automne, ils disent s’être inspirés de leur fascination pour les cultures anciennes et modernes.
Autre atout considérable : chaque note jouée par ce groupe vous embarque aussitôt dans un groove délicieux.