Le maĂźtre de lâamericana fait mouche Ă tous les coups
Bill Callahan â qui dans une autre vie sâĂ©tait dĂ©jĂ produit Ă lâAB (2000) avec son groupe Smog â travaille Ă son propre rythme, loin des dictats de lâindustrie de la musique. Ainsi, son dernier album, « Dream River », remonte dĂ©jĂ Ă 2013 et il part en tournĂ©e au grĂ© de ses envies. Mais une chose est sĂ»re : son savoir-faire, discret mais pur, dâauteur-compositeur-interprĂšte donne Ă chaque fois des frissons. Pensez par exemple Ă des classiques comme « Sometimes I Wish We Were An Eagle » (2009) ou « Apocalypse » (2011). RĂ©cemment, il a sorti un album live sur le label de Jack White, Third Man Records, et ses (superbes) morceaux « America! » et « Drover » ont Ă©tĂ© utilisĂ©s dans la bande-son de la sĂ©rie trĂšs plĂ©biscitĂ©e de Netflix « Wild Wild Country », Ă propos du gourou indien Bhagwan Shree Rajneesh.
CÎté presse
â***** - intense, spellbinding singer at his deadpan best.â (The Guardian)âA quiet masterpiece.â (Pitchfork over zijn album âApocalypseâ)
Fun fact
Bill Callahan a le sens de lâhumour. Sinon, comment expliquer quâil ait choisi lâhumoriste Nigel Williams pour assurer la premiĂšre partie de son dernier passage en Belgique, en 2017 ?SERIOUS FACT:
Ce concert est dĂ©diĂ© Ă la regrettĂ©e Marianne Dekimpe, la booker avec qui lâAB avait programmĂ© le premier concert de Callahan sous son nom propre. Ce nâest sĂ»rement pas un hasard si Bill Callahan a un jour repris « So Long Marianne » de Leonard Cohen.
Bill Callahan est montĂ© pour la premiĂšre fois sur la scĂšne de lâAB avec son groupe Smog il y a prĂšs de 20 ans â en 2000 pour ĂȘtre prĂ©cis.